La seconde guerre mondiale ayant été une guerre idéologique à la vie et à la mort, la capitulation des armées allemandes n'était qu'une étape. «La victoire, écrivait Maurice Bardèche, n'est (...) complète que si, après avoir forcé la citadelle, on force aussi les consciences.» Autrement dit: outre l'anéantissement physique du national-socialisme, les démocraties voulaient aussi l'extirper des esprits. D'où cette propagande orchestrée avant même le 8 mai 1945 et destinée à convaincre les peuples que les «nazis» avaient perpétré des atrocités sans nom.
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